Christèle Albaret : et si on osait (vraiment) la bienveillance au travail ?

Publié dans Work In Progress

07 oct. 2020

auteur.e
Mélissa Darré

Editorial manager @Welcome to the Jungle

Ce n’est plus à prouver : cultiver la bienveillance au travail s’avère bénéfique sur bien des points. Moyen préventif des risques psychosociaux, levier d’augmentation de la productivité, facteur de diminution de l’absentéisme et du turn-over… en bref, les entreprises comme les collaborateurs ont tout à gagner à la mise en place de ce cercle vertueux. Mais comment incarner cette bienveillance au quotidien et en faire un état d’esprit partagé par tous ?

Dans cette chronique Work In Progress du 7 octobre 2020, Christèle Albaret, psychosociologue et coach mental, décrit les nombreux bénéfices de cultiver la bienveillance dans le monde de l’entreprise, tant du côté des dirigeants que des collaborateurs, notamment dans ce contexte de crise. « La bienveillance, je crois encore plus aujourd’hui, elle va être un véritable vecteur de sérenité. Et en ce moment, on a besoin. Dans des périodes d’urgence, où on se renouvelle, on se réinvente, on a besoin d’avoir un minimum de distance, de sérénité pour prendre des décisions. Pour prendre de bonnes décisions. Et si on est exclusivement en urgence dans son cerveau, on va être dans la réaction immédiate et en fait on ne va pas avoir la capacité de pouvoir avancer, être innovant, notamment dans une entreprise, et d’aller dans la bonne direction. La bienveillance c’est un ingrédient que l’on peut tous mettre en oeuvre au quotidien et qui va nous permettre à un moment donné de retrouver les moyens d’être un minimum dans cette sérénité », décrit notamment cette spécialiste.

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