Elisabeth Richard : mesurer pour progresser en matière de parité

Publié dans Work In Progress

24 juil. 2020

auteur.e
Mélissa Darré

Editorial manager @Welcome to the Jungle

Au cours du XXè siècle, les femmes se sont massivement engagées dans l’accès à la vie professionnelle. Mais les résultats décevants des efforts visant à “briser le plafond de verre” ont amené les pouvoirs publics à promouvoir des politiques d’égalité professionnelle, conduisant à des transformations en profondeur des comportements. Des mesures et quotas qui, s’ils permettent d’avancer sur le chemin de la parité au travail, suffisent-ils réellement à faire évoluer les mentalités ? Quel avenir pour l’égalité professionnelle ?

Dans cette chronique Work In Progress du 24 juillet 2020, Elisabeth Richard, la directrice Coordination et Animation des réseaux chez ENGIE revient sur les bienfaits de l’instauration de l’index de l’égalité professionnelle par la loi Pénicaud de 2018. En charge du réseau des femmes du groupe qui s’est donné pour objectif d’atteindre 50% de femmes managers en 2030, elle insiste notamment sur le fait qu’ : “On ne progresse quand mesurant. Le fait de travailler sur les rémunérations à tous les niveaux des femmes ou des écarts hommes/femmes, dans un sens ou dans l’autre, véritablement va attirer les talents. L’index est sorti l’an dernier, aujourd’hui les entreprises du CAC40 et du LBS120, les ETI et les entreprises de moins de 50 salariés s’y mettent. En vérité, en France, on a un formidable outil avec ces 5 indicateurs qui vont permettre de mesurer et de rééquilibrer en 5 ans les choses. Et ça c’est un levier énorme.”

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