WWF France

Inspirés par une série d’articles publiés par Sir Julian Huxley sur la destruction des habitats et la disparition de la faune en Afrique de l’Est, l’homme d’affaires Victor Stolan détecte le besoin de créer une organisation internationale qui permette de récolter des fonds pour la conservation de la nature. Max Nicholson, Directeur général de l’agence britannique Nature Conservancy, partage cette idée et décide de relever le défi.

Nicholson était conscient des difficultés financières auxquelles faisait face l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature) et pensait qu’une telle initiative aiderait à soutenir l’organisation ainsi que les missions d’autres groupes de conservation. En avril 1961, il rédige un plan d’action qui deviendra le fondement du WWF, ces idées furent ensuite reprises par l’UICN dans un document connu sous le nom de Manifeste de Morges. C’est ainsi que naît le World Wildlife Fund.

Le WWF France est créé quant à lui en 1973. À cette époque-là, les actions du WWF France se concentrent sur la protection du balbuzard de Corse et du flamant rose en Camargue.

Aujourd’hui, WWF est une organisation de protection globale de l’environnement. Grâce au soutien et à la générosité de ses 6 millions de donateurs ainsi que de l’expertise de ses 5 200 salariés, le WWF a mené 12 000 programmes depuis sa création.

L’urgence écologique nous oblige plus que jamais à orienter nos actions là où elles pourront avoir le plus d’impact. Notre stratégie Biodiversité et soutenabilité 2020 - 2025 fixe nos priorités à l’horizon 2025.

Pour accroître notre impact, nos équipes doivent concrétiser et incarner les valeurs du WWF dans leurs manières de travailler avec les autres, de piloter les équipes au quotidien et de mettre en œuvre nos process. Cela passe par des actions spécifiques menées par les équipes des Ressources Humaines, lors du recrutement par exemple, de l’évaluation des compétences et de la performance, de la formation des managers et des chefs de projets. Notre mantra : «Faire ce que l’on dit et dire ce que l’on fait».