Dans le cadre de son programme Eau douce, le WWF France agit pour la préservation des zones humides et pour le renforcement de la résilience et de la sobriété des usages de l’eau face au changement climatique. Pour atteindre ces objectifs, l’organisation promeut le développement de solutions fondées sur la nature, dont les zones humides, afin de renforcer la capacité des territoires à faire face aux sécheresses et aux inondations. Elle accompagne également la transition agroécologique des systèmes agricoles vers des pratiques plus durables, contribuant ainsi à la résilience globale des territoires face aux pressions croissantes sur la ressource en eau.
Dans le cadre de ses actions, le WWF France s’appuie sur des bases scientifiques solides pour alimenter son plaidoyer et ses projets de terrain. Afin de promouvoir les pratiques agroécologiques, les infrastructures agroécologiques (IAE) et les solutions fondées sur la nature (SFN) comme réponses aux enjeux hydrologiques, il est essentiel de disposer d’indicateurs fiables permettant d’en mesurer les impacts sur la ressource en eau.
Ces impacts peuvent être évalués à différentes échelles — de la parcelle agricole au bassin versant — et concernent principalement la quantité d’eau (infiltration, disponibilité, consommation), tout en intégrant, lorsque c’est possible, la qualité de la ressource.
Encadré(e) par la chargée de programme Eau douce, son responsable et en lien avec les autres membres de l’équipe, le/la stagiaire contribuera à renforcer la rigueur scientifique des actions menées par le WWF France. Il/elle aura pour missions principales :
Identifier, à partir de la littérature scientifique et de cas concrets (en France et à l’international), les méthodes et indicateurs existants permettant d’évaluer l’impact des pratiques agroécologiques, des IAE et des SFN sur la ressource en eau, en particulier sur les aspects quantitatifs, et lorsque cela est possible, qualitatifs ;
Échanger avec les parties prenantes internes (équipes Agriculture, Forêt, Eau douce, etc.) et externes (instituts de recherche, porteurs de projets et les chercheurs), afin de mieux comprendre les pratiques, d’identifier des études ou projets en cours, et de recueillir des données complémentaires ;
Structurer les informations recueillies et produire des livrables synthétiques et exploitables pour les équipes WWF, facilitant leur intégration dans les projets de terrain et le plaidoyer.
Étudiant(e) en Master ou école d’ingénieur spécialisé(e) en hydrologie, sciences de l’eau, gestion des ressources naturelles ou disciplines proches ;
Maîtrise des applications bureautiques et informatiques (Pack Office) ;
Maîtrise des outils de recherche en littérature scientifique ;
Bonnes compétences rédactionnelles et synthétiques ;
Organisation, rigueur ;
Intérêt pour la protection des milieux aquatiques ;
Très bon niveau d’anglais et de français ;
Capacité à être force de proposition;
Échange téléphonique avec notre assistante RH
Entretien en présentiel avec notre chargée de programmes Eau douce et le responsable de l’équipe Eau douce ainsi qu’un membre de l’équipe RH
Rencontrez Arnaud, Chargé de Développement RH
Rencontrez Caroline, Coordinatrice et Animatrice du Réseau Bénévoles
Ces entreprises recrutent aussi au poste de “Gestion de l'environnement et des ressources naturelles”.